Inquisition (and Mathematics) time.

La camera filme un ring d'entraînement dans une petite salle de sport. Un attroupement s'est fait autour du ring. Dessus un type est allongé face contre terre. Sa tête touche presque la botte de Byron Simons, dit l'Inquisiteur. Personne ne dit rien, la tension est palpable. l'Inquisiteur, enfin, se met a parler, pas besoin de micro, tout le monde l'entend avec sa voix forte et grave.

"La pitié est le bouclier des faibles. Cette être, dans l'erreur depuis le début, a pêché, il a cru faire le bien, cru faire ce qu'il devait faire. Ce n'est pas si simple, surtout pour un faible comme lui... Il a fallu que le grand architecte dans son immense sagesse me mette sur sa route, pour le remettre sur le chemin de la pureté. C'est ainsi."

Les types qui entourent le ring expriment leurs désapprobation. Il menacent de monter sur le ring... Mais l'Inquisiteur envoie un violent stomp dans l'arrière du crâne de sa victime, les calmant immédiatement.

"Je suis l'Inquisiteur, c'est comme ça que vous m'appellerez, vous les hérétiques de la salles, mais aussi ceux de la NHPW, avec laquelle je viens de signer.
Je ne suis pas stupide, je sais que je me fais des ennemis, ici, et que je m'en ferais là bas. Mais qu'importe les adversaires face a la destiné qui m'appelle. La volonté du grand architecte est limpide, il veut que je punisse ceux qu'il juge bon de punir. Il est le juge, je suis le bourreau, implacable, sans sentiment, ni haine ni pitié pour ses victimes. Et cette homme sous mon pied a été jugé coupable par le tribunal. "

L' atmosphère est électrique.

"L'un de vous se croit-il assez fort s'opposer a la volonté du grand architecte ? Non, bien sur que non. Et maintenant, il est temps pour notre ami. Temps de se repentir par la douleur et la souffrance."

L'Inquisiteur attrape son adversaire par la nuque et le remet sur pied, il le soulève et le met sur ses épaules sans aucune difficulté... Execution ! Byron se relève, il regarde les types hors du ring en souriant, avant de quitter la salle sans se retourner, alors qu'il vérifient l'état de leur camarade.

Nous sommes en backstages. La camera filme le mur de briques. L'Inquisiteur est là, vêtu d'un sweat a capuche et d'un vieux jean. Il a dans la main un projecteur, qu'il soulève de la main droite a mainte reprise sans difficulté.

"La force. C'est ce qui permet a l'homme de survivre. Mais c'est aussi la qualité que certains hommes ont et qu'il leurs permet de se hisser au dessus du paquet. Mais cela ne suffit pas. La volonté est et de loin la plus grande des qualités qu'un être puisse avoir. La volonté du grand architecte est sans limite, c'est elle qui me nourrit. J'ai été choisis pour ma force pour accomplir sa volonté, et l'ordre des choses est respecté."

L'Inquisiteur lâche le projecteur qui s'écrase au sol avec un gros bruit.

"L'impact. C'est ce qui fait qu'un lutteur perce dans le milieu. Voilà qui ne risque par de m'arriver, en tout cas ici à la NHPW... Je ne suis pas prévu dans le show. Mais qu'importe, un impact peut se faire d'une manière différente. Briser la carrière d'un minable après son match, rien qu'avec mes poings par exemple. Quoi qu'il arrive, la volonté du grand architecte arrivera a terme lors de Warfare, et lors de chaque événement suivant. Jusqu'à ce que la purification soit terminée."

La camera coupe.

Jayzon Trinity. Voilà un nom qui dit tout. A se prendre pour un héros de film d'aventure, on finit par tomber sur un os... Jayzon est très croyant il parait. Ahahahah... Le grand architecte n'aime pas ça. La volonté du grand architecte dicte mes pas, et je me dirige droit vers Jayzon. Si j'était lui, j'aurais peur. J'aurais peur, peur de la volonté du Grand Architecte, car quoi qu'il arrive il arrive a ses fins. Il n'y a pas d'exceptions, pas de pitié.

Je suis l'inquisiteur. Celui qui accomplit les tâches. Mes gestes ont une finalité. Mais lors de Nightmare, quelque chose ne s'est pas passé correctement. Jayzon, stupide crétin... La dernière chose qui aurait pu t'être utile était de me frapper avec une croix en métal. La douleur n'est rien, mais tu a dépassé les limites. Mon courroux s'abattra sur toi, et tu comprendra ton erreur. Rien n'arrêtera la pluie de mes coups, et tu finira par me demander pitié. C'est là que j'en finirais avec toi, accomplissant les souhaits de mon maître.

Et je passerais a une autre cible, sans regrets, oubliant ton corps inerte.